27oct. 2020 - Un poème de Victor Hugo sur le Prophète Mohamed صلي الله عليه و سلم Victor Hugo, le 15 janvier 1858
etpaix et bénédiction soient sur Mohamed-le messager de la générosité, Barak'ALLAH Azâ wa Jalâ fiki ma soeur et en ces frères et soeurs- mach'ALLAH la qowâta ilâ bi ALLAH AL3ALEY AL3ADHIM pour l'initiative et pour les oeuvres. J'apprécie particulièrement le poème d' Oum AbdelHakim. Et j'espère que cela va réveiller les
Cettefête consiste en la récitation des chapitres de la 'Bourda' un poème panégyrique de Mohammed ibn Saïd al-Bousiri sur le prophète. Finalement, cette fête musulmane est une manifestation de l'amour pour le Prophète : Sidna Mohammed, éblouissante lumière.
Fast Money. Comme s’il pressentait que son heure était proche, Grave, il ne faisait plus à personne une reproche ; Il marchait en rendant aux passants leur salut ; On le voyait vieillir chaque jour, quoiqu’il eût A peine vingt poils blancs à sa barbe encore noire ; Il s’arrêtait parfois pour voir les chameaux boire, Se souvenant du temps qu’il était chamelier. Il semblait avoir vu l’Eden, l’âge d’amour, Les temps antérieurs, l’ère immémoriale. Il avait le front haut, la joue impériale, Le sourcil chauve, l’oeil profond et diligent, Le cou pareil au col d’une amphore d’argent, L’;air d’un Noé qui sait le secret du déluge. Si des hommes venaient le consulter, ce juge Laissait l’un affirmer, l’autre rire et nier, Ecoutait en silence et parlait le dernier. Sa bouche était toujours en train d’une prière ; Il mangeait peu, serrant sur son ventre une pierre ; Il s’occupait de lui-même à traire ses brebis ; Il s’asseyait à terre et cousait ses habits. Il jeûnait plus longtemps qu’autrui les jours de jeûne, Quoiqu’il perdît sa force et qu’il ne fût plus jeune. A soixante-trois ans une fièvre le prit. Il relut le Coran de sa main même écrit, Puis il remit au fils de Séid la bannière, En lui disant » Je touche à mon aube dernière. Il n’est pas d’autre Dieu que Dieu. Combats pour lui. » Et son oeil, voilé d’ombre, avait ce morne ennui D’un vieux aigle forcé d’abandonner son aire. Il vint à la mosquée à son heure ordinaire, Appuyé sur Ali le peuple le suivant ; Et l’étendard sacré se déployait au vent. Là , pâle, il s’écria, se tournant vers la foule ; » Peuple, le jour s’éteint, l’homme passe et s’écroule ; La poussière et la nuit, c’est nous. Dieu seul est grand. Peuple je suis l’aveugle et je suis l’ignorant. Le lendemain matin, voyant l’aube arriver Aboubèkre, dit-il, je ne puis me lever, Tu vas prendre le livre et faire la prière. » Et sa femme Aïscha se tenait en arrière ; Il écoutait pendant qu’Aboubèkre lisait, Et souvent à voix basse achevait le verset ; Et l’on pleurait pendant qu’il priait de la sorte. Et l’ange de la mort vers le soir à la porte Apparut, demandant qu’on lui permît d’entrer. Qu’il entre. » On vit alors son regard s’éclairer De la même clarté qu’au jour de sa naissance ; Et l’ange lui dit Dieu désire ta présence. — Bien, » dit-il. Un frisson sur ses tempes courut, Un souffle ouvrit sa lèvre, et Mahomet mourut. »→ A LIRE AUSSI Mots à la femme, miroir de vie Par Khalifa Ababacar Gaye Victor Hugo, le 15 janvier Nice, Le 7 février 2015→ A LIRE AUSSI Journée de la femme Madické Niang anticipe avec un poème touchant ! → A LIRE AUSSI Saccage chez le maire de Keur Massar Accusé d’en être le cerveau, Pape Sarr répond vidéo
Quel acte méritoire que d’écrire des poèmes pour énumérer les qualités d’excellence de notre Prophète Mouhammad salla l-Lahou ^alayhi wasallam. Les compagnons en écrivaient et le messager les écoutait alayhi s–salatou wassalam. De très nombreux poèmes ont été écrits pour le louer, depuis son avènement ^alayhi s–salatou wassalam, à travers les siècles et jusqu’à nos jours. Quel acte méritoire que d’écrire des poèmes pour énumérer les qualités d’excellence de notre Prophète Mouhammad salla l-Lahou ^alayhi wasallam. Les compagnons en écrivaient et le messager les écoutait alayhi s–salatou wassalam. De très nombreux poèmes ont été écrits pour le louer, depuis son avènement ^alayhi s–salatou wassalam, à travers les siècles et jusqu’à nos jours. Poèmes sur le Prophète Mouhammad Chers internautes, Nous tenons à vous remercier pour les nombreux poèmes manifestant votre amour pour le bien-aimé Prophète Mouhammad. Certes, l’amour du Prophète perdure dans le cœur des croyants et vos poèmes en témoignent. Nous avons choisi un de vos poèmes, qui nous a particulièrement touché, pour le publier sur notre site par amour du Prophète Mouhammad salla l-Lahou ^alayhi wasallam. Découvrez ses magnifiques vers Un homme dont la présence était immense, être remarquable, d’une beauté grande patience, d’une extrême était le plus magnifique, le plus charisme l’emplissait lorsqu’il se degré se manifestait lorsqu’il parole était belle d’une grande rivière de joyaux, ses mots avaient l’ de compagnons le suivant de près,L’écoutant, attentionnés, quand il s’ se précipitaient quand il leur connaissaient la vraie valeur du Messager,Bien servi et bien semblait ne pas toucher terre quand il marchaitAu point que, pour lui, la terre semblait se son parfum sur le chemin qu’il retournant entièrement quand on l’ ses actes il était, oui, le plus dans ses attitudes le plus ses promesses, connu pour sa ses propos, connu pour sa n’est comparable avant ou après qui le voyait était qui le connaissait venait à l’ intense magnificence émanait de ne sera jamais comme parfum était certes le meilleur qui mains beaucoup plus douces que la meilleure des fréquentation était la plus de loin, le plus élégant, le plus plus magnifique, vu de était tel un soleil qui sa bouche la lumière sortait quand il est Mouhammad, le meilleur maître des Prophètes et des Messagers Et le joyau de la guidéeUn homme dont la présence était immense, être remarquable, d’une beauté grande patience, d’une extrême était le plus magnifique, le plus parfait.
Écrire un poème pour énumérer les qualités de notre Prophète salla l-Lahou ^alayhi wasallam est un acte méritoire. Les compagnons en écrivaient et le Prophète ^alayhi s–salatou wassalam les écoutait. A travers les siècles et depuis l’avènement de notre Prophète bien-aimé Mouhammad, plusieurs poèmes ont été écrits pour le louer. Écrire un poème pour énumérer les qualités de notre Prophète salla l-Lahou ^alayhi wasallam est un acte méritoire. Les compagnons en écrivaient et le Prophète ^alayhi s–salatou wassalam les écoutait. A travers les siècles et depuis l’avènement de notre Prophète bien-aimé Mouhammad, plusieurs poèmes ont été écrits pour le louer. Poèmes sur le Prophète Mouhammad Chers internautes, Nous tenons à vous remercier pour les nombreux poèmes manifestant votre amour pour le bien-aimé Prophète Mouhammad. Certes, l’amour du Prophète perdure dans le cœur des croyants et vos poèmes en témoignent. Nous avons choisi un de vos poèmes, qui nous a particulièrement touché, pour le publier sur notre site par amour du Prophète Mouhammad salla l-Lahou ^alayhi wa sallam. Découvrez ses magnifiques vers Ô Mouhammad mon bien-aimé, Je pose sur ma feuille ces quelques mots qui me viennent, Pour te témoigner mon amour, dans ce poème. Je ne sais pas si je trouverai les phrases, si je trouverai les termes, Pour exprimer à quel point, mon bien-aimé, je t’aime. Ô Mouhammad mon bien-aimé, Je peux au moins te dire, Que d’un grand amour et d’un grand respect pour toi Mon cœur est rempli. Et qu’au point parfois d’en gémir, D’être auprès de toi Si fort, je me languis. Ô Mouhammad mon bien-aimé, Par la grâce de Allah, une nuit de toi j’ai rêvé. Tu étais tel que les compagnons te décrivaient. A mon réveil, deux sentiments en moi se mêlaient, Le bonheur de t’avoir vu, et la tristesse, car si fort déjà tu me manquais. Ô Mouhammad mon bien-aimé, Dans mon rêve, en moi-même je me disais, Quelle chance et quel bonheur les compagnons ont vécu ! D’avoir eu l’honneur d’être à tes côtés. Quelle chance et quel bonheur les compagnons ont connu ! De contempler ta splendeur et de t’écouter parler. Ô Mouhammad mon bien-aimé, Dans mon rêve, je te voyais, Si serein et si modeste, Toi la créature la plus élevée en degrés. Dans mon rêve, je me disais, Il est certes le meilleur de l’humanité, Meilleur que toutes les créatures terrestres et célestes. Ô Mouhammad mon bien-aimé, Dans mon rêve, je t’écoutais et je me disais ; Ta parole est si belle, Que l’on ne pourrait s’en lasser. Tes conseils sont si empreints de sagesse, Qu’il est si facile de t’écouter. Ta compagnie est si agréable, Qu’elle est la plus recherchée. Ô Mouhammad mon bien-aimé, Je t’aime d’un amour immense et sincère, Et par ton degré, je demande à Dieu qu’Il m’accorde la piété. Ô Mouhammad mon bien-aimé, Ton enseignement dans ce bas-monde est une lumière. Je veux suivre ton chemin jusqu’au jour où mon âme, de mon corps, sera séparée.
un petit poème sur le prophète mohamed